J'arriiiiiiive (un peu tard, c'est vrai)
Introduction: Les différentes formes de libertés définitions et problématiques :
*liberté = définition spontanée: être libre c'est pouvoir faire ce qu'on désire/ce qui nous plaît.Liberté d'action et de mouvement, sans contrainte.
Cependant cette définition spontanée de la liberté n'est pas satisfaisante.Elle ne tient pas compte des autres, elle conduit à priver l'autre de sa liberté.Si chacun fait ce qui lui plaît, plus personne n'est libre, pour exister la liberté doit être limitée.La notion de liberté conduit à une première problématique politique qui ne sera pas abordé (
cf: cours sur la politique).
Cette définition de la liberté propose une conception de la liberté qui ne peut pas avoir de réalité pour nous, c'est impossible de faire tout ce qui nous plaît.De plus elle ne prend pas en compte que la liberté n'est pas que d'action et de mouvement mais elle est aussi intérieure.Les limites de notre liberté sont aussi intérieures; on fait l'expérience de notre esclavage intérieur quand le désir est plus fort que notre volonté.Par exemple on fait un régime et on craque sur la tablette de chocolat (
^^)
Problématique:
Nous faisons l'expérience de notre servitude intérieure mais aussi parfois de notre liberté intérieure.
Que vaut le sentiment de notre servitude ou liberté intérieure ?La personne qui va dans un magazin pour acheter une boîte de ravioli et qui, alors qu'elle a des dettes, ressort avec un écran plat : elle peut se sentir esclave d'elle même, elle n'a pas su résister à son désir mais l'est-elle réellement ?Elle a eu l'impression qu'elle n'avait pas le choix intérieurement, apparament elle aurait pu résister.
Quand on se sent libre parce que on est en accord avec soi, es-ce qu'on l'est réellement ?Si on a pu résister à l'écran plat, es-ce que c'est une preuve de liberté ?Le libre arbitre existe-t-il réellement ou est-il une illusion ?Le libre arbitre est un pouvoir intérieure de choix, c'est le pouvoir de se déterminer, d'être la cause de ses actes, le sujet de ses actes.Le fait qu'on est conscient implique qu'on soit le sujet de nos actes.
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